Chanteur à la tête d’un groupe de rock sillonnant les Etats Unis, bluesman dans les rues de New York, pianiste de jazz dans un club parisien, jardinier dans le Kentucky ou peintre dans la campagne anglaise, TD Lind, autodidacte baroudeur surdoué a tout fait, tout tenté, tout embrassé. Le fruit de ses expériences, aventureuses, musicales ou amoureuses, c’est ce nouvel album, baptisé Outskirts of Prosper. Un disque à la singulière densité, riche recueil de chansons à la facture classique mais aux mélodies contemporaines et à l’émotion intemporelle. Blues, jazz, country, pop ou rock, TD Lind jongle en maestro avec les styles et les époques. Aussi à l’aise avec une guitare acoustique qu’avec une bonne vieille Gretsch électrique, un orgue Wurlizer ou un piano bastringue.
La passion de la musique, TD Lind l’a contractée très jeune. A 18 ans, il abandonne études et foyer familial pour jouer dans un groupe de rock. Repéré dans un pub d’Oxfordshire par une productrice américaine, voilà notre troubadour british qui débarque aux Etats Unis, des rêves plein la tête et une guitare sous le bras.
Après plusieurs tentatives infructueuses auprès de labels à l’existence précaire, il finit par réaliser seul son premier album, Let’s Get Lost. Séduit, le célèbre producteur britannique Rupert Hine lui donnera un coup de main pour le second, Call Me Sinner, enregistré en quatre jours. Ces deux albums recueilleront autant de critiques enthousiastes que de diffusions radio et quelques chansons parsèmeront même les bandes originales de plusieurs films cinéma et séries télé.
Fort de ces expériences, TD Lind propose aujourd’hui un troisième album abouti, véritable quintessence de son art : tout au long des douze titres de Outskirts of Prosper, chansons d’amour et d’errance, chroniques poétiques scandées d’une voix au swing velouté, affleure sa passion pour le blues des racines, mais aussi le jazz des années 30 et le rock des pionniers. Un critique a dit de lui « on dirait Van Morrison, Bob Dylan, John Lee Hooker, Chuck Berry, Mark Knopfler, Ry Cooder et Dieu tout à la fois… » Certes, mais s’il a vécu plusieurs vies, TD Lind est définitivement un artiste unique.
Le premier clip, Head over heels, est une merveille :
Site officiel : http://www.tdlind.com
Télécharger sur Itunes : https://itunes.apple.com/fr/album/head-over-heels-single/id603655353